Ce n’est pas un rêve ni un cauchemar… c’est une blague brillante partagée par la page Facebook DLP Rescue Rangers à l’occasion du 1er avril. L’idée ? Reconvertir le chenil de Disneyland Paris en une garderie mixte pour chiens… et enfants. Oui, vous avez bien lu.
“Le chenil de Disneyland Paris se réinvente !“
Quand les parents veulent profiter (vraiment) du parc
Selon cette publication satirique, certains parents auraient trouvé un stratagème pour profiter pleinement des attractions à sensations sans avoir à faire halte à chaque boutique de bulles ou à écouter “Libérée, délivrée” pour la centième fois.
L’humour touche juste : “Le parc a d’ailleurs constaté une surcharge récurrente des espaces ‘Rendez-vous Enfants Perdus’ à cause d’enfants perdus… volontairement par des parents souhaitant souffler quelques heures.”
Bienvenue au “Bernard & Bianca Child and Animal Care”
Le chenil — qui existe réellement depuis 1992 et accueille chiens, chats, et même poissons rouges — est, dans cette version revisitée, renommé Bernard & Bianca Child and Animal Care. Une référence parfaite aux célèbres héros Disney…
Et comme tout service sérieux, quelques règles s’imposent :
- Les enfants devront être en ordre de vaccination (logique… ou pas ?)
- Les parents sont priés de venir les promener au moins une fois par jour
- À défaut de repas fourni, des croquettes seront servies
Une blague super bien ficelée… qui soulève une vraie question
Évidemment, il s’agit d’un poisson d’avril bien senti ! Mais comme souvent avec l’humour, un fond de réalité n’est jamais bien loin :
- Le besoin, pour certains parents, de souffler, même pendant une visite à Disneyland.
- Le manque de services adaptés aux familles dans les grands parcs d’attractions.
- Et une bonne dose d’autodérision sur le stress parental et les enfants surexcités devant Mickey.
Merci DLP Rescue Rangers pour ce moment de magie absurde
Dans la grande tradition des blagues de fans Disney, celle-ci se distingue par son ton pince-sans-rire, son absurdité très bien calibrée… et son petit parfum de “et pourquoi pas, après tout ?”